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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 09:54

extraits de la mise en forme d'un futur spectacle qui réunit ,2 chorales avec leurs chefs, 4 groupes qui représentent les enfants, un orchestre , un récitant, et 2 sopranos solistes, tous sous la conduite d'un jeune chef.....plus la présence du  créateur  de" Oînos" qui supervise l' ensemble, et qui nous dévoilera en fin de séquence filmée ses motivations.  Je me suis immergé très facilement dans le groupe, (merci Philippe) , j'étais autorisé à me   rapprocher...... peu à peu je me suis fondu dans la formation, guidé par mes sensations, attiré et à la fois  émerveillé devant leur partition mystérieuse, support unificateur,  charmé par la musique qui m'enrobait, et toujours soucieux de capter les participants,  sous des angles magnifiants pour mieux marquer leur fonction de  maillon indispensable   .... Le point de vue de chacun  m'a éclairé,ces échanges rationalisaient mon adhésion ,  alimentaient ma curiosité....humanisaient ma démarche......pour en faire  un souvenir indélébile .Merci à Philippe ,dont le rôle  en tant que responsable du CFMI, est d'enregistrer  et diriger les intervenants adultes (des étudiants) qui ont déjà commencé à répéter avec des classes de primaire.


Oînos, la répétition
envoyé par sergelourie

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13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 08:03

10%.....PAE......PACTE.......PROJET PÉDAGOGIQUE......VOYAGES PÉDAGOGIQUES.....DÉGRAISSAGE DU MAMMOUTH (MODULES........TRAVAIL INDIVIDUALISÉ......)... TPE......CONSEILLER PÉDAGOGIQUE AUPRÈS DU CHEF D'ÉTABLISSEMENT.........ça vous rappelle quelquechose?

ce sont toutes les innovations qui tentaient de donner un peu d'oxygène à l'Institution, où nous étions directement sollicités........on se souvient des résistances, administtatives, syndicales.......et.......le résultat est là: si la population scolaire a changé, l'école n'a fait que régresser.

Trop de liberté ou pas assez d'autonomie?

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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 17:09

intéressé par le débat entre Meirieu et Ferry autour de la violence à l'école, avec des points d'accord : les laissés pour compte issus en majorité des milieux défavorisés....une voie professionnelle complètement délaissée, les redoublements inefficaces,des sanctions inutiles, un enseignement technique dévalorisée,l'absence de travail d'équipe, des affectations inadaptées avec les profs débutants sur les postes les plus difficiles....Meirieu et Ferry ont  rappelé que si l'on avait su sous DeGaulle  réduire à 9 heures le statut des agrégés dans les classes prépas pour construire une élite, ils souhaiteraient qu'un  aménagement  horaire  soit  envisagé pour les profs en zone  difficile ... .

 J'ai eu l'impression que nos 2 intervenants se targuaient à tour de rôle de connaitre les solutions, avec des divergences  (entre le pédagogo et l'hyperacadémique), mais, à les entendre,ils  nous auraient  évité  les problèmes d'aujourd'hui.

"Ah si on m'avait écouté.... j'y avais pensé mais on ne m'a pas laissé faire....."entonnent ils à tour de rôle.....

Pourquoi ne l'ont ils pas fait...ils étaient aux commandes ou conseiller du pouvoir......sera-ton capable de faire un jour un  bilan pour lister les erreurs, et  mesurer les responsabilités.  Mais ce qui me semble prioritaire et extrêmement complexe, c'est d' arriver à prendre en compte  les jeunes d'aujourd'hui qui ne ressemblent  plus du tout aux jeunes d'hier.....

....une intervention récupérée dans un article de libé où l'enseignant déclare s'être volontairement inscrit sur Facebook pour être plus prêt de ses étudiants . Ils peuvent dire maintenant: "grâce à mon smartphone j'ai mon prof dans ma poche" ..

 

souvenu de Paris Roubaix quand je prenais le départ en 1975 ? de la version cyclotourisme avec mon ami JF Gélis comme équipier et Marcault dans la voiture balai....

 

entendu une blague de Bigeard , bien salace mais qui m'a bien fait rire......

 

vu une pub de bagnole

2 cabriolets rouges identiques côte à côte, 2 jeunes filles qui attendent leurs mecs, coups d'oeils complices, elles s'échangent leurs fringues vite fait, l'une emprunte même les lunettes de soleil de l'autre , le 1er mec revient et se trompe de bagnole sans se rendre compte tout de suite que ce n'est pas sa nana.....le 2ème arrive et découvre le subterfuge...

quand les mecs et les nanas sont totalement addictes à la bagnole.....

 

apprécié le film Ajami

dans un quartier de Jaffa en Israël ,  2 jeunes cinéastes  (un israélien  juif et un israélien palestinien) nous font partager la vie d'un quartier où si il n'y a pas de murs de séparation l'atmosphère est irrespirable . Trafic de drogue, police israélienne inopérante, règlements de compte, traditions  encore bien ancrées qui expliquent  toutes les résistances devant une  cohabitation à construire.....ils posent les vrais problèmes ......la paix n'est pas pour demain....

 

retrouvé dans ma cave tous les numéros de l' hebdo "Pages Libres" dont le n°1 est paru le 5 Janvier 1901

sa ligne éditoriale

" remplacer le vieux monde par un monde nouveau fondé sur la Solidarité, le Travail, la Justice, en combattant le Cléricalisme, le Militarisme, le Capitalisme,en établissant la liberté de la Pensée, la Paix des Nations, la Joie et la Dignité du Travail........"

Je suis entrain de vérifier si c'est bien un de mes  oncles qui aurait  collaboré à cette revue qui a paru régulièrement jusqu'en 1909.

 

appris  la publication prochaine du dernier  livre  sur Freud écrit par Onfray......de la dynamite??????

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9 avril 2010 5 09 /04 /avril /2010 20:02
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6 avril 2010 2 06 /04 /avril /2010 11:49

HuMOur et liberté.......si Guillon a fait un énorme buzz, le 22 Mars en supplantant haut la main l'appel  de DCB, avec une chronique qui était à mon avis plus provocatrice que pertinente,(on ne peut pas être tous les jours au mieux de sa forme.)  Yann Barthès joue un registre différent en jouant avec les images et l'instantanéité. Il phagocyte ses proies .... il refabrique tout dans son studio. On peut aussi opter pour l'extrême simplicité, en jouant seulement avec les MOTS.... ouvrez vos oreilles à ceux de Vincent Rocca.


Une chronique en ordre
envoyé par franceinter
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6 avril 2010 2 06 /04 /avril /2010 07:32

ONG

envoi de DH

"Ci-dessous le lien vers le film des 10 ans de Peuples d'Himalaya. Il est fait de petits bouts qui montrent les lieux et notre action. C'est là, avec eux, que j'ai passé le mois de juillet 2009 dans le nord est du Cachemire indien. Nous avons besoin de l'aide de tous, particuliers ou entreprise, pour continuer. Tout ce qui est donné va en totalité en moyens matériel et d'enseignement aux enfants du Zanskar. Nous n'avons pas de doute, si nous ne le faisons pas, personne d'autre le fera." Dominique Henri Bourasset

Peuples d'Himalaya film 10 ans from Kosba on Vimeo.

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4 avril 2010 7 04 /04 /avril /2010 21:45

envoi de A Maucouvert

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4 avril 2010 7 04 /04 /avril /2010 17:26

après  la grève et après!!!! ,  Il s'agit de dénoncer le contexte ultralibéral dans lequel l'école de demain ne doit pas s'inscrire...... L'école et ses acteurs devront  inventer pour ne plus être  un système de reproduction, et jouer son rôle émancipateur.

 

envoi de Fred

Christian Laval est agrégé de sciences sociales, chercheur à l’Université Paris Ouest, membre fondateur de l’Institut Polanyi et chercheur associé à l’Institut de recherches de la Fédération syndicale unitaire. Ses travaux portent sur deux grands domaines, l’histoire de la sociologie et de la philosophie, et l’étude des transformations des systèmes éducatifs et des politiques scolaires. Il a publié de nombreux articles et ouvrages, dont L’école n’est pas une entreprise (La Découverte/Poches, 2004) et, avec Isabelle Bruno et Pïerre Clément, La grande mutation, Néolibéralisme et éducation en Europe (Syllepse, 2010).

Que voulez vous dire quand vous avancez que " l’école devient un grand marché " ?

L’école reste encore en France une grande affaire publique par son organisation et son financement. On en connaît les réalisations de grande ampleur en termes de scolarisation des jeunes et de diffusion culturelle mais on connaît aussi les critiques traditionnelles qu’on lui porte: inégalités persistantes, bureaucratie, hiérarchie pesante, classes chargées, dégradation des rapports entre professeurs et élèves, et j’en passe. Mais l’école change, et ce qu’elle devient mérite attention. Un certain nombre d’évolutions sont en train de modifier profondément le fonctionnement et les finalités de l’école, et pas nécessairement en mieux.
C’est d’abord l’essor à tous les niveaux d’une logique de concurrence entre établissements non plus seulement entre public et privé mais à l’intérieur même du service public. Les causes sont diverses : du point de vue sociologique, les familles, dans un contexte de chômage, de précarité, d’inégalités économiques et culturelles accrues, mais aussi de xénophobie, de course à la performance, luttent avec les différents moyens qu’elles ont pour placer leurs enfants dans les établissements qu’elles jugent les meilleurs ou, au moins, les plus " protégés " socialement. Ces comportements ont été favorisés par les politiques d’inspiration néolibérale qui font de la concurrence le moteur exclusif de l’efficacité. Selon ces dernières, le " libre choix " devrait réguler l’école et l’université comme n’importe quel marché de services commerciaux. Et si l’école doit fonctionner dans un marché, il paraît alors logique qu’elle cherche à imiter les entreprises du secteur concurrentiel. Par touches successives, c’est une telle mutation que l’on observe........

 

Est-ce cela que l’on appelle la " marchandisation de l’éducation " ?

La marchandisation, au sens strict, c’est la vente d’un service éducatif à des élèves considérés comme des clients. C’est une tendance très forte en Europe et dans le monde. qui vient se greffer sur la mise en concurrence dont je parlais à l’instant. L’enseignement supérieur un peu partout fait appel à un financement privé plus élevé qui pèse sur les familles et les étudiants, avec des conséquences évidemment variées en fonction des milieux sociaux. Cette tendance est d’ailleurs encouragée par la politique éducative européenne. La " marchandisation " de l’éducation ne s’arrête pas là. On observe aussi l’essor de véritables industries du soutien scolaire bénéficiant d’importantes aides fiscales, sans parler des stratégies marketing pour pénétrer le milieu scolaire ou les multiples " produits " parascolaires qui inondent le marché. Le marché scolaire c’est l’exploitation de l’angoisse des familles autour de l’échec et de la réussite scolaire, véritable fait de société.
C’est enfin la subordination de plus en plus perceptible des systèmes éducatifs au marché du travail. Le discours officiel délaisse le vieil idéal humaniste de l’homme complet qui a eu un effet structurant très important dans l’histoire pour se centrer sur les seules " compétences " qui ont une utilité professionnelle. L’angoisse pour l’emploi, la pression intense des milieux économiques et politiques pour que l’école soit au service des besoins immédiats des entreprises, tout pousse à ce que l’élève soit surtout considéré comme la " ressource humaine " qui devra bientôt " se vendre ". Derrière ces évolutions de l’école, on devine peut-être que c’est l’homme qui devient de plus en plus une marchandise.

 

Sommes-nous tous touchés par ces tendances que vous analysez et que vous voulez soumettre au débat public dans vos conférences et dans vos livres ?

Tout le monde est concerné par l’école, les élèves, les étudiants, les professionnels de l’enseignement bien sûr, mais aussi les parents, et tous les citoyens. L’école n’est pas en dehors de la société. Plus qu’un reflet, elle est l’une de ses expressions, l’un de ses visages. Elle est aussi et surtout la matrice de la société qui advient. Se demander ce que doit être l’école c’est se demander quelle société l’on souhaite. C’est pourquoi vouloir changer l’école est parfaitement légitime, comme vouloir changer la société, les deux allant d’ailleurs ensemble Mais il y a réforme et réforme et il y a des réformes qui améliorent et d’autres qui aggravent.
Comme on le dit parfois un peu pompeusement, avec l’école, il s’agit bien d’un " choix de société " ou d’une " politique de civilisation ". Il en va de la connaissance et de l’éducation comme il en va de l’environnement. Voulons-nous cultiver, partager et préserver un bien commun au delà de l’intérêt individuel et de la concurrence de tous contre tous ? Ou bien délaisserons-nous toutes ces richesses communes, ces conditions naturelles et culturelles de la vie, et, faut-il ajouter, d’une vie vraiment humaine, pour s’abandonner à la logique exclusive de l’accumulation de richesses privées ? Tel est pour moi l’enjeu le plus crucial, le plus profond du débat sur l’école.
 

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3 avril 2010 6 03 /04 /avril /2010 15:48

  Trois rencontres, un point commun , tous des anciens collègues.......de Kourou , de Valenton.....plus indirectement Dominique Maissa ,un excollègue de Tahiti qui a précédé Muriel sur le poste du collège de Nice.

- La Compagnie  de danse d'Amazonie avec Annick Maucouvert , 3 chorégraphes et 20 danseurs en provenance  de Guyane du Surinam du Brésil et de l'Uruguay viennent de  présenter leur dernier spectacle LA MÉRIDIENNE,


- Muriel Quinsac , ancienne collègue de Guyane est passée sur FR3 pour parler de son collège,(adresse du site:http://mediterranee.france3.fr/info/nice/une-journee-avecune-principale-62204666.html?onglet=videos&sms_ss=facebook)


- Philippe Boivin en association avec un compositeur, un chef d'orchestre, un récitant, 2 choeurs mixtes et 4 groupes d'enfants m'a invité à suivre une répétition.......



D'un collègue à l'autre
envoyé par sergelourie

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 16:03
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