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16 mai 2007 3 16 /05 /mai /2007 07:49
des copains sont actuellement en croisière dans les eaux Caraïbéennes, si vous voulez partager leurs aventures, vous
cliquez commentaire......
"JEUDI 3 MAI 2007 17H10, nous venons de terminer de faire nos 947 litres d’eau douce, notre réservoir de gas-oil est plein de ses 300 litres, les équipés sont remplies de nourriture et de boissons pour au moins 1 mois en  autarcie  (nous ferons de nouveau les provisions à St.Martin avant de quitter les eaux françaises), le pavillon (tout neuf) français est hissé, GPS, pilote, radio en veille, nous sommes prêts à "
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JEUDI 3 MAI 2007 17H10, nous venons de terminer de faire nos 947 litres d’eau douce, notre réservoir de gas-oil est plein de ses 300 litres, les équipés sont remplies de nourriture et de boissons pour au moins 1 mois en autarcie (nous ferons de nouveau les provisions à St.Martin avant de quitter les eaux françaises), le pavillon (tout neuf) français est hissé, GPS, pilote, radio en veille, nous sommes prêts à quitter le Marin.<br /> C’est un moment d’émotion pour nous deux. Biwi quitte son mouillage pour un très certain retour à son port d’attache de Toulon. Il était au Marin depuis au moins 10 ans. Notre mouillage et l’une de nos dernières annexe en bois blanc sont maintenant derrière nous. Notre objectif CUBA en remontant vers les îles nord Caraïbes.<br /> Pour ceux qui sont susceptibles de venir au Marin voici les coordonnées de notre mouillage :Cul de sac du Marin : 14°27’/060°51’<br /> <br /> Nous entamons notre 21ème. semaine aux Antilles. Nous avons fait 2 fois les îles Grenadines, nous remontons pour la 3ème.fois en Guadeloupe, Antigua, Barbuda et pour la 2ème.fois à St.Barth St.Martin et les Vierges.<br /> <br /> A la tombée du jour, nous approchons de la Pointe du Diamant, nous nous dirigeons vers la GRANDE ANSE D’ARLET (14°30’/061’) pour y passer la nuit. Nous avons besoin de nous reposer après ces 5 semaines de travaux intensifs, surtout pour Dominique. Une plus grande nav. nous attend prochainement.<br /> <br /> <br /> VENDREDI 4 MAI , les premières tortues de notre croisière viennent autour du bateau, peut être sont elles attirées par le petit déjeuner.<br /> Dominique répare la courroie de l’alternateur qui ne tient toujours pas. Nous ne trouvons pas le bon modèle, c’est très souvent ça les Antilles, il y manque toujours quelque chose même dans les magasins spécialisés. L’aire de carénage du Marin est bien achalandée mais il manque pas mal de pièces, c’est par contre la débrouille qui reste la plus efficace.<br /> <br /> 13 heures, pas de sieste nous hissons les voiles pour SAINT-PIERRE. Mer calme, ciel bleu, très bonne visibilité, un peu de houle sans plus.<br /> <br /> 16 heures 50 arrivée, (14°44’/061°10’), le mouillage roule aïe aïe !, une concentration de bateaux américains dont un Morgan. Il est malheureusement trop tard pour trouver une courroie, les magasins sont fermés. Heureusement que la « bidouille » de Dominique a tenue bon.<br /> <br /> Notre descente à terre nous aura permis de discuter avec des pêcheurs et de revisiter pour la 3° fois la ville qui s’est largement et positivement embellie et modifiée. Elle a sa gare routière toute neuve, quelques magasins ou plutôt boutiques se sont ouvertes quelques façades noircies par l’éruption volcanique du début XX° reprennent vie sous de vives couleurs, on a reconstruit sur des emplacements de maisons ensevelies (ils en ont mi du temps…, de partout on voit des affiches de travaux signées Conseil Régional).<br /> Avant de rentrer au bateau, nous ferons une petite halte pour savourer une bonne Lorraine (la marque de bière martiniquaise) à la pression.<br /> En reprenant notre annexe au ponton des pêcheurs nous décidons de leur acheter du poisson fraîchement péché, il est en train d’être découpé au coupe coupe et là avec grande surprise au moment de payer nos tranches de dorade coryphène (2 tranches = 900 grs, le prix du kg oscille entre 5 et 9 €) elles nous sont offertes. J’insiste auprès de notre pêcheur, rien à faire « c’est avec plaisir, comme ça vous reviendrez » nous dit il. Faisons nous partie de ces rares métros qui s’approvisionnent localement, les Antillais apprécient beaucoup cette attitude. Il est vrai que maintenant, connaissant de mieux en mieux les Antilles on pénètre dans les quartiers moins touristiques là où les Antillais vivent, on discute avec eux. La plupart d’entre eux essayent d’entrer en contact par « un bonjour » ou un « ça va » interrogateur. N’hésitez pas à leur répondre (bien évidemment restons sur nos gardes selon les îles ou quartiers mais c’est toujours plus sympa de leur répondre).<br /> <br /> Je vais vous donner la recette de la poissonnière du Marin , là encore une petite anecdote , voilà qu’en me donnant sa recette elle me dit de l’aromatiser avec des piments végétariens que je ne connaissais, malheureusement, pas elle me dit d’aller de sa part sur un étal plus loin je pourrais en acheter. Là aussi au moment de donner mon panier, la vendeuse me dit « goûtez, c’est très bon, pas besoin de payer, mangez c’est bon »…<br /> Je reviens à ma recette : faire mariner les morceaux de poissons dans du citron et un peu d’eau, découper les piments végétariens et l’ail en petits morceaux, puis passer le tout au four. Quel arôme, Simple et bon (accompagné de christophines en purée et/ou de bananes cuites. <br /> <br /> SAMEDI 5 MAI, 2 heures du matin, départ pour MARIE-GALANTE en Guadeloupe. Notre première nav. de nuit de la saison. La pleine lune est de la partie et les poissons volants aussi.<br /> A la sortie de la Pointe SAINT-MARTIN ( 14°51/061°15’) Dominique prend la décision de longer la DOMINIQUE côte au vent (c’est à dire côté Atlantique pour les non voileux).Nous avons estimé notre navigation pour une durée d’environ 12 à 14 heures. En fin de matinée, le vent tombe on s’est bien fait ballotter et nous n’avons pas vraiment gagner du temps sur notre parcours.<br /> Nous croiserons 3 minuscules embarcations de véritables bouchons sur l’Océan, impressionnants ces pêcheurs Martiniquais, Dominicains parfois Guadeloupéens. Il y a 2 ans, nous avions discuté avec des pêcheurs à Grand Rivière (Cf.blog pour photos), ils font régulièrement la traversée vers les 2 autres îles pour y pêcher ou ramener les fruits de la Dominique et plus parfois… sans commentaire…<br /> Arrivée à MARIE-GALANTE , port de GRAND BOURG à 15 H 10 (15°52’/061°19’). La plus grande agglomération de l’île.<br /> Les travaux du port sont terminés, il était en plein travaux il y a 2 ans. C’est terminé, CEPENDANT, avis aux voileux, il n’y a quasiment pas de place sur l’unique ponton oû se trouvaient une dizaine de bateaux. C’est dommage. En plein centre 2 très gros pontons qui accueillent les Ferries. Nous sommes au mouillage dans l’anse ouest du port. Nous sommes le dernier et 4ème. Bateau, il n’y a plus de place. Vraiment dommage ! La passe est très bien indiquée, cependant la vigilance est de rigueur ça ne pardonnerait. La douane est fermée le samedi et le dimanche, donc pas de clearance si on veut sortir des eaux françaises.<br /> <br /> Mouillage réglé, nous avons retrouvé Grand-Bourg aussi paisible que nous l’avions découvert avec son accueil toujours aussi chaleureux.<br /> Nous allons y rencontré José qui nous a offert un coup à boire dans le troqué de son voisin, plus local tu meurs ! Nous aurons droit à la visite de s a maison natale dont il est très fier.. Nous avons passé au moins une bonne heure ensemble. Tout a démarrer sur un simple bonjour, tu aimes Marie-Galante ?…<br /> Ce José est donc né là, tout juste à côté du banc où nous l’avons rencontré face à la barrière de corail qui fait claquer la mer de jour comme de nuit, en face à la Dominique. Il va nous raconter avec amour et grande passion son île, sa famille , ils sont pêcheurs depuis des générations. Pendant tout ce temps on rit, on partage d’agréables paroles et surtout nous allons serrer pas mal de mains, José est fier de nous présenter ses vieux copains avec qui il était en classe. José a fait des études d’électro-mécanicien en métropole dans la région parisienne et maintenant il travaille principalement à l’EDF sur la Grande Guadeloupe et revient à Marie-Galante dès qu’il le peut pour aller pêcher et rester là, comme il le dit « là je suis né, c’est chez moi, c’est beau et calme , on respecte et c’est important».<br /> Lors de notre dernier passage sur Marie-Galante nous avions déjà constaté cette sérénité et l’accueil de ses habitants.<br /> Il nous a souvent été dit que Marie-Galante ressemblait à la France profonde d’après-guerre . Un bon coin pour la retraite !…<br /> <br /> DIMANCHE 6 MAI , départ à 11 H 20 pour la BAIE DE SAINT-LOUIS (15°57/061°19’), tout à côté de Grand-Bourg, arrivée 13 h.<br /> Attention de nombreux casiers de pêcheurs encombrent l’entrée de la baie.
La baie est large, une dizaine de bateaux au mouillage. <br /> La nouveauté sont les bouées, a priori peu importe on se met où l’on veut , l’essentiel étant de laisser le chenal pour les ferries en provenance de la Désirade et de la Gde.Guadeloupe. Le mouillage est agréable malgré sa grande ouverture vers les Saintes et la Pointe Est de la Gde Guadeloupe que nous pouvons apercevoir par très bonne visibilité. Journée de baignade.<br /> <br /> LUNDI 7 MAI ballade dans l’île en scooter. Super ! Ce moyen de transport a été pour nous la chance d’apprécier encore plus toutes odeurs de cette Marie-Galante si parfumée. Nous traquerons « le Père Labat » qui se cache sous le nom de la distillerie Poisson. Les connaisseurs de rhume savent que c’est l’un des meilleurs rhums des Antilles, à notre humble avis avec celui de Bielle, rhumerie qui se trouve sur la même île. Ces 2 rhums ont l’odeur de leur île.<br /> Bien évidemment un petit tour à Capesterre qui abritée des ses cayes empêchent son accès aux bateaux de plaisance , seuls quelques bateaux de pêche locaux connaissent les passes. Le bourg est en travaux de droite et de gauche, on sent un site balnéaire qui s’installe à la vitesse des îles antillaises. Nous prenons un grand plaisir à revisiter Marie-Galante. Sur les bords des routes ou encore assis sur leur terrasses ombragées ils sont nombreux à nous faire signe de la main comme si l’on se connaissait. Dans l’après midi nous irons chez une grand mère qui fabrique le sirop Batterie, spécialité de l’île, parfait pour l’utilisation pâtissière ou pour sucrée de l’eau ou encore le rhum…<br /> Nous n’allons pas pouvoir nous empêcher d’aller chez Bieille, car nous savons que de bonnes mamas fabriquent de très bons beignets à l’ananas , à la banane et cuisent des morceaux de noix de coco dans du caramel à l’entrée de la distillerie de notre Papet rencontré il y a 2 ans. Nous l’avons revu toujours en bonne forme…(photo blog)<br /> Pour clôturer notre ballade, la découverte du C3, sportives la montée et descente en scooter, les voitures à éviter ! Nous avons longé la rivière Saint-Louis.<br /> Pour le début de soirée jusqu’à tard dans la nuit, l’incontournable piano bar resto de STLouis. « chez Henry » qui est ? devinez ? Marseillais !! Il vous accueille dans une ambiance tropicale, hamacs sous les cocotiers les pieds dans l’eau ambiance jazzy.<br /> Et pour terminer avec tous ces Marseillais qui semblent envahir les Antilles, notre rencontre avec le couple d’un certain âge, puisque accompagné de leur belle-fille et petite fille qui vit environ 10 mois de l’année sur Marie-Galante et les 2 autres mois sur son bateau en métropole, face au théâtre de la Criée de Marseille !<br /> Quelle bonne journée !<br /> <br /> MARDI 8 MAI , 8 H 10 départ en silence du mouillage à la grand voile. La destination du jour LES ILES DE PETITE TERRE, toujours en Guadeloupe.<br /> Ce sont deux petits îlets entourés de cayes, une réserve marine protégée. ATTENTION, en arrivant de Marie-Galante il manque l’une des 6 bouées qui déterminent les hauts fonds c’est la B3 bien arrondir en allant vers la Désirade. Le mouillage est assez difficile surtout pour la première fois et accessible uniquement par beau temps par une passe Nord Ouest. C’est sur la plus grande des 2 îles que vivent des familles entières d’iguanes (cf.blog)., beau temps creux 1m5<br /> Arrivée à 11 h 47 (16°10’/061°06’) beau temps, creux 1M50 sur le canal atlantique.<br /> L’après-midi sera consacrée à la plongée, malgré le fort courant à remonter entre les 2 îlets. Nous avons nagé tout à côté d’une magnifique tortue et de poissons aux multiples couleurs , d’énormes oursins à ne pas s’y frotter en les rasant et tout cela dans une eau d’un bleu turquoise. Au fonds , les 2 îlets sont quasiment reliés par une barrière de hauts fonds où se trouve la nurseries des requins du coin.<br /> Dans la journée il y a entre 3 et 4 catamarans qui baladent les touristes, ça fait un peu trop de monde, mais le soir venu comme ce soir, nous avons ce petit paradis à nous partager entre 2 voiliers . C’est toujours comme cela. Et c’est magique…<br /> <br /> MERCREDI 9 MAI ,tôt le matin nous allons faire nos civilités à nos copines les iguanes (surtout Dominique elles l’amusent beaucoup, un vrai gamin). Elles sont si préhistoriques et surtout inoffensives. Pour certaines « très sociables », elles restent tout à côté, jusqu’à environ 1 mètre, à nous regarder sans bouger, tantôt allonger sur des branches en hauteur, tantôt sur le sol à nos pieds. <br /> Puis plongée, rencontre avec une superbe raie et tous ces poissons multicolores …<br /> <br /> 17 H 21 départ pour une nv. De nuit en direction de BARBUDA , nous devons ressortir de la passe avant la tombée de la nuit et arrondir la pointe des Châteaux sur la Guadeloupe S.Est.<br /> La nuit sera calme jusqu’à environ 3 heures, forte houle, le pilote déraille, il faut barrer et garder notre cap, on affale la voile d’artimon. Nous ferons des quarts de 2 heures. La nuit est noire, la lune se lève tard sur le matin, vers 4 heures.<br /> <br /> JEUDI 10 MAI , nous atteignons la superbe plage de Cocoa Bay (17°33’ /061°46’) 10 kms de sable blanc. Pour venir mouiller la vigilence est une fois encore de vigueur, nous devons nous frayer le passage entre des patates de coraux. Dominique est l’avant du bateau pour m'indiquer la direction à prendre. Nous naviguons sur des hauts fonds depuis ce matin tôt. Ici ça varie entre 5 et 3 mètres, il va nous falloir un bon quart d’heure pour jeter notre mouillage en bordure de plage. Cette nuit nous avons parcouru 95 miles en 16 heures, soit une moyenne de 5,9 Nds.<br /> <br /> Promenade rituelle sur la plge pour y ramasser ces jolis coquillages blancs, cette fois ci je n’ai quasiment pas retrouvé ceux de couleurs marrons hérissés de jaune. Je vais les entasser dans mon vase à coquillages dans le hall de la maison d’Aubagne.<br /> <br /> Dans la journée le « Boavista », bateau que nous connaissons du Marin vient jeter son ancre non loin de notre Biwi. Quelques heures plus td nous nous retrouverons sur la plage pour faire la causette avec 2 de ses équipiers. 9a va se terminer chez nous pour l’apéro. Ils nous rejoignent équipage au complet, 3. Leur objectif c’est la transat d’ici la fin du mois pour rejoindre leur port d’attache, La Rochelle (ils sont en vacances pendant 4 mois pour vivre leur aventure maritime ensemble). Nous allons nous revoir à St.Martin puisque leur départ se fera de là-bas, lorsque un quatrième équipier les aura rejoint. Agréable soirée entre marins… Le monde est petit l’un d’entre eux est prof de gym et a des connaissances communes avec Dominique du temps où il régatait en Bretagne.<br /> L’un d’entre eux a fait un site, voici leur adresse ça devrait être sympa : boavistaodysee.free.com<br /> Ils peuvent être un bon contact pour les bretons qui nous lisent et qui se préparent pour le grand large. Contactez les de notre part. Christian, le capitaine, navigue depuis plus de 40 ans, ancien régatier, professionnel dans le commerce de la voile les autres régatent aussi et voyagent de par le monde plus particulièrement en Inde. L’équipage a de quoi raconter…<br /> <br /> VENDREDI 11 MAI, on se baigne et on bronze. Dominique ne peut pas s’empêcher de faire joujou avec Biwi, mais c’est cool.<br /> <br /> Le soir, nous sommes invités à bord de Boavista, de nouveau un agréable moment de récits des uns et des autres. On se donnent rendez-vous à Saint-Martin pour les prochains jours sinon peut être au Salon de la Rochelle.<br /> <br /> SAMEDI 12 MAI,, 4H 40 départ pour SAINT-BARTHELEMY . Passage de grains, sans plus, puis plus du tout de vent, plus ennuyeux, grand beau temps.<br /> <br /> 16 H 20 arrivée au port de GUSTAVIA, St.Barth. (17°54’/062°51’) Mouillage inconfortable rouleur, mais on le connaît…<br /> <br /> ici nous sommes au Saint-Tropez des Antilles. La population est dans sa quasi totalité blanche, bretonne… Ceux qui s’arrêtent ici sont généralement beaucoup, beaucoup plus aisé que nous. Ces sont des milliardaires, d’énormes fortunes françaises , américaines, des personnalités du show business du monde entier. Inutile de vous dire que toute la haute couture et bijouterie françaises ont leurs boutiques.<br /> <br /> Pour la petite histoire , nous sommes rentrés dans une boutique style Exopotamie, les bracelets fantaisie mis en vrac dans des corbeilles en osier avait une valeur de 270 € et plus, les premiers prix de chemisiers entre 550 et 700 €).<br /> Il reste quelques boutiques abordables, mais difficile à trouver. En discutant avec l’un de ces propriétaires (les commerçants sont très avenants, courtois…), il nous a raconté qu’il avait un de ces clients qui était dans l’obligation de dépenser mensuellement 120.000 €, sinon l’année suivante il augmentait trop son capital. 9a ne l’empêche pas de venir faire des achats dans la même boutique que nous.<br /> <br /> C’est St.Barth., notre Saint-Tropez est rustique à côté.<br /> <br /> A ne pas rater « le Select Bar », on y retrouve une faune très particulière de marins… de nombreux métro. Les bières s’accumulent sur les tables de certains comme des trophées… Bonne ambiance, très sympa. Le vol et la violence n’existent pas sur l’île. Les habitants sont cools, on ne voit pas de gardiens ou de police. Où alors ils s’intègrent au décor… Les annexes, les scooters et les casques sont laissés sans surveillance , les boutiques n’ont pas de garde. <br /> <br /> Revenons « les pieds dans l’eau », le mouillage est détestable, tantôt bâbord, tantôt tribord toute la nuit. Le matin une seule envie partir.<br /> <br /> DIMANCHE 13 MAI, dès 6 H 30 on lève l’ancre pour aller prendre notre petit déjeuner dans la Baie de Colombier (17°54’/062°51’), tout à côté de Gustavia. Ca roule un peu mais tellement moins que ça ne bouge pas. C’est une anse classée réserve naturelle.<br /> <br /> 11H35 départ vers SAINT-MARTIN , nav. sans problème, sinon un petit manque de vent.<br /> <br /> 15H50 arrivée à l’anse de GRAND CASE , nord ouest de l’île (18°06’/063°03’).<br /> Quelques bateaux au mouillage, un accueil en musique. C’est dimanche , dans toutes les Antilles c’est véritablement jour de fête. St. Martin est une île (partie française) réputée pour ses animations locales assez importantes.<br /> <br /> Nous allons rester sur l’île quelques jours. Nous sommes ok dans notre calendrier de route vers Cuba. Ici, nous pourrons peut être profiter de la détaxe totale du côté hollandais de l’île, en ce qui concerne entre autre chose du matériel électronique pour le bateau et pour des cadeaux de luxe bien moins chers qu’en métropole. C’est ici que les bijoutiers ont pignon sur rue , pour certains, sans devanture (les grands noms sont de véritables coffre fort, avec leurs rivières de diamants et leurs kilos de pierres précieuses qui décorent cette fois ci leurs vitrines). Là par contre il y a pas mal de police et de gardes de partout.<br /> Puis nous sommes obligés de compléter notre ravitaillement car après nous partons en direction des Vierges, Puorto Rico (si nous obtenons ce fameux visa), sinon ce sera St.Domingue avant Cuba.<br /> <br /> <br /> A bientôt, bises à vous tous.<br /> <br /> Marie & Domi.<br /> <br /> <br /> Marie raconte ses Antilles N°4 carnet de bord du BIWI <br /> <br /> PAGE <br /> <br /> <br /> PAGE 8
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