5 décembre 2007
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Hier, je participais à mon nième conseil de
classe. Une institution " bancale" dans l'Institution , qui illustre bien les faiblesses de notre système. J'ai , une fois de plus, déploré, qu'il ne se donne pas les
moyens de remédier véritablement aux difficultés que rencontrent certains élèves, sinon en les "avertissant" car on redoute que leur
influence démobilise les "meilleurs". Une organisation "sélective" pur jus.
Les seuls remèdes: convoquer les parents, ce qui sous entend que nous les rendons directement responsables, pour bien évidemment, envisager une réorientation!!!!! Comme si on ne pouvait travailler seulement avec des "bons" élèves: dociles, et travailleur: normal non......en tous les cas révélateur d'une insuffisance.
Si je continue à penser que le corps enseignant doit se pencher davantage sur les solutions à apporter, et moins sur les programmes à respecter, je constate, que l ' INSTITUTION ne nous y aide pas en continuant à constituer des classes de 35 élèves ! (ceux qui ont choisi l'option "grec" ne sont que 8???). Sommes nous toujours dans une école républicaine? Comment peut on croire qu'un établissement de 2000 élèves peut fonctionner normalement???? ne doit on pas redéfinir le rôle de l'Inspection qui n'intervient que pour vérifier si les travaux sont terminés, et seulement une fois tous les 6 ans!!!!, et je passe rapidement sur les trop nombreux établissements classés ZEP, qui cotoient les rares lycées Louis le Grand. Mal barré, l'EN.....
Est-ce que les dernières conclusions PISA, qui comparent les résultats obtenus par les 30 pays de l'OCDE, vont nous aider à tourner la page?
On peut s'interroger sur le bien fondé du slogan d'une époque: 80% d'élèves au Bac, où on avait carrément oublié les 20% . Objectif atteint en tous les cas, puisque les conclusions du Programme International pour le Suivi des Acquis des élèves révèlent que 20% des élèves en France sont en situation d'échec????? Nos universitaires ont même défini un terme pour les caractériser "la constante macabre".
Les seuls remèdes: convoquer les parents, ce qui sous entend que nous les rendons directement responsables, pour bien évidemment, envisager une réorientation!!!!! Comme si on ne pouvait travailler seulement avec des "bons" élèves: dociles, et travailleur: normal non......en tous les cas révélateur d'une insuffisance.
Si je continue à penser que le corps enseignant doit se pencher davantage sur les solutions à apporter, et moins sur les programmes à respecter, je constate, que l ' INSTITUTION ne nous y aide pas en continuant à constituer des classes de 35 élèves ! (ceux qui ont choisi l'option "grec" ne sont que 8???). Sommes nous toujours dans une école républicaine? Comment peut on croire qu'un établissement de 2000 élèves peut fonctionner normalement???? ne doit on pas redéfinir le rôle de l'Inspection qui n'intervient que pour vérifier si les travaux sont terminés, et seulement une fois tous les 6 ans!!!!, et je passe rapidement sur les trop nombreux établissements classés ZEP, qui cotoient les rares lycées Louis le Grand. Mal barré, l'EN.....
Est-ce que les dernières conclusions PISA, qui comparent les résultats obtenus par les 30 pays de l'OCDE, vont nous aider à tourner la page?
On peut s'interroger sur le bien fondé du slogan d'une époque: 80% d'élèves au Bac, où on avait carrément oublié les 20% . Objectif atteint en tous les cas, puisque les conclusions du Programme International pour le Suivi des Acquis des élèves révèlent que 20% des élèves en France sont en situation d'échec????? Nos universitaires ont même défini un terme pour les caractériser "la constante macabre".